Les cours d'économie en licence sont proprement sympathique mais aussi lunaire car nous analysons, interprètons et comprenons des modèles qui sont purement théoriques, avec une simplification outrancière des comportement humain (comme le montre l'intérêt fulgurant qu'à l'économie comportementale), et surtout de l'environnement.
Il faut quand même penser que le seul but que l'on cherche dans nos modèle est un hypothétique optimum social à travers des maximisation d'intérêts égoïste en ne voyant que producteurs et consommateurs. Avec que des équilibres uniques (pour que cela tendent vers un équilibre générale qui est sensé exister) parce que sinon mathématiquement ça deviendrait ingérable.
Donc tous ça pour soi disant mieux comprendre le réel, alors que la seul chose que le modèle standard arrive a faire pour intégrer des "externalités négative" soit de penser a des système de signaux prix qui devraient faire réagir les acteurs.
Alors que le problème est sous notre nez ce sont ces hypothèse sans aucun fondements scientifiques, purement politiques, d'ailleurs les néoclassiques et néoconservateurs ne s'en cachent pas. Les pollutions, les modifications titanesques que nous faisons à la Terre ne sont pas "externe" au marché, elles sont le coeur même du marché ce qui permet de faire exister ce dernier faut-il encore qu'il serve des causes et ne soit pas une finalité.
Alors quand est-ce que l'on va modifier les enseignements économiques ( et cessez de prendre l'écologie comme un volet d'un cours, en marge d'enseignements fondamentaux) et intégrer les révolutions scientifiques qu'imposent l'anthropocène ?
Un élève un peu frustré mais qui avance ....