Bonsoir,
Je vous souhaite tout d'abord une très bonne année 2025.
J'ai pris une décision : ne finalement pas vous demander l'étude de cas finale sur Swatch. Je suis sûr que vous ne m'en voudrez pas. Néanmoins, cela mérite tout de même une petite explication.
En lisant un ouvrage qui consacre un chapitre à l'histoire de la Swatch, j'avais découvert son côté doublement intrapreneurial (elle est née de la rencontre de deux jeunes ingénieurs qui menaient "en perruque" des études sur l'utilisation du plastique dans les montres et du directeur d'une sous-filiale du principal groupe horloger suisse persuadé qu'il fallait aller vers une montre simplifiée à faible coût, mais à qui on n'avait jamais confié cette mission). D'où mon idée d'une étude de cas sur cette montre emblématique, qui avait relancé l'industrie horlogère suisse. Vu le nombre d'études qui ont été consacrées à la Swatch, je ne pensais pas buter sur un manque de données à ce propos. Sauf que les études de cas menées sur la genèse de la Swatch n'insistent absolument pas sur cette dimension. Résultat : quand j'ai voulu intégrer les dimensions vues en cours, je n'ai pu identifier que quelques éléments partiels.
Comme le cours est déjà loin et que nous avons trois notes entre le cas Ubisoft (j'ai par contre ajouté comme convenu le texte quasi-complet du chapitre pour que vous puissiez comparer votre propre approche du cas et celle de l'équipe Cellules Créatives), les exposés et les synthèses d'articles, je ne vais pas vous demander un autre travail à la place.
Vous aurez un retour sur vos synthèses quand je les aurai corrigées.
Je vous souhaite une très bonne continuation.
Bien cordialement,
Pascal Corbel