Bonjour à tous,
j'espère que vous allez bien et que votre préparation du plan de développement commercial du cas partenaire Ray-Ban a bien avancé.
Voici ci-dessous des précisions de Nathalie de l'association des DCF au regard du cas. A prendre en compte pour finaliser vos travaux svp.
"Bonjour à tous,
Suite à la publication du cas partenaire, vous avez été nombreux à revenir vers nous avec quelques questions et nous souhaitons que l'ensemble des établissements puissent avoir accès à ces questions et aux réponses.
1. L’étude de marché doit-elle porter sur le marché Français, Européen ou mondial ?
En effet, le cas ne précise pas de manière stricte si l’étude de marché doit être limitée à la France, à l’Europe ou au marché mondial. Cependant, étant donné le caractère international global de Ray-Ban, une analyse à l’échelle mondiale paraît pertinente pour comprendre les tendances globales des lunettes connectées, tout en incluant une analyse spécifique du marché français si l’audience locale semble être une priorité stratégique pour les étudiants. Quoi qu’il en soit, un point sur le RGPD et les spécificités liées au marché européen peuvent, pour ne pas dire doivent, être abordées (exemple : Apple Intelligence, Autopilot Tesla…).
2. Les propositions ne doivent concerner que le marché B2C ou B2B2C, et pas du tout le marché B2B ?
Le cas indique clairement que la mission principale vise le marché B2C. Il n’est pas mentionné d’approche B2B, même en modèle B2B2C. Ainsi, les propositions doivent se concentrer sur des stratégies qui touchent directement le consommateur final. Le fil rouge et donc les prochaines épreuves devraient permettre de travailler l’approche B2B.
3. Il semble y avoir une incohérence dans les chiffres donnés en
page 4 (marché de 14 milliards de dollars en 2026) et en page 8 (marché
de 9.2 milliards de dollars en 2026).
Effectivement, une
différence apparaît entre les projections du marché des lunettes
connectées : 14 milliards de dollars en 2026 (p. 4) contre 9,2 milliards
de dollars en 2026 (p. 8). Cette divergence semble être
le résultat de méthodologies (différentes sources), segments et
périmètres différents dans les études de marché sous-jacentes (lunettes
intelligentes / lunettes connectées). Pour l’analyse, il est recommandé
de choisir une source en fonction de la stratégie
spécifique (ex. concentrée sur le B2C ou l’AR) et de la justifier dans
le contexte du cas.
4. Pour la question 3 sur l'offre produit, faut-il bien partir de
l'offre Rayban Meta sur le plan technique pour proposer des services et
fonctionnalités complémentaires sans s'occuper de propositions
techniques du type batterie, caméra, etc ?
Pour la question 3,
l’objectif est de proposer des options qui enrichissent l’expérience
utilisateur tout en conservant l’identité actuelle des lunettes Ray-Ban
Meta. Les suggestions peuvent donc inclure des services
comme des applications intégrées, des abonnements à des contenus
spécifiques, ou des options de personnalisation. Les améliorations
techniques ne doivent pas être négligées car il s’agit de freins pour
certains consommateurs. Sans rentrer dans la R&D et les
données techniques stricto sensu, les propositions doivent rester
réalistes (exemple pixels photos qui passent de 5 à 12 MP entre les
Ray-Ban Stories et les Ray-Ban Meta).
5. Est-ce qu'il faut parler du budget ? si oui, dans quelle dimension ?
Le budget n’est pas explicitement mentionné comme une contrainte ou un sujet central dans la mission, mais il peut être utile de proposer une évaluation des coûts pour les principales actions commerciales et marketing. Par exemple, on pourrait inclure une estimation pour les campagnes publicitaires, les partenariats avec des influenceurs, ou le développement de nouveaux services. Une approche budgétaire sommaire serait donc bénéfique pour donner du poids à la stratégie sans nécessiter un budget détaillé de chaque dépense.
Je reste à votre disposition si besoin,
Mr Hemmet